Le texte s’applique aux banques, aux succursales de banques étrangères, aux groupes financiers, ainsi qu’aux entreprises d’assurance et leurs filiales. Toutefois, certaines entités, telles que les banques disposant d’une forte liquidité, les maisons de titre, les gestionnaires d’actifs, les petites compagnies d’assurance ou certains réassureurs ne relèvent pas directement de son champ d’application. Néanmoins, elles restent exposées aux mêmes risques et la FINMA les invite à s’y référer et à en suivre les principes.
Conformément au principe de proportionnalité, l’encadrement des établissements varie en fonction de leur nature. De manière générale, ceux principalement concernés par le texte doivent identifier, évaluer et gérer les risques financiers liés à la nature, notamment grâce à des analyses de scénarios. Les risques jugés significatifs doivent être intégrés dans leur système de contrôle interne, qui devra être ajusté en conséquence.
Les banques et les assureurs doivent intégrer les risques financiers liés à la nature dans des domaines similaires, tels que la gestion des risques de crédit, de marché et de liquidité. Toutefois, la circulaire distingue les deux secteurs afin de mieux prendre en compte leurs spécificités.
Cette circulaire vise à renforcer la résilience du secteur financier face aux risques liés à la nature, en favorisant une approche proactive et adaptée aux réalités de chaque institution. Sa mise en œuvre sera progressive : une première vague de mise en conformité est attendue dès le 1er janvier 2026, avant une application généralisée d’ici au 1er janvier 2028.
THE GOVERNANCE LAW FIRM
L’ Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA) a publié en décembre 2024, sa nouvelle circulaire « Risques financiers liés à la nature ». Celle-ci vise à intégrer, conformément aux recommandations internationales, la prise en compte des risques climatiques et environnementaux dans la gestion des établissements financiers.
Le texte s’applique aux banques, aux succursales de banques étrangères, aux groupes financiers, ainsi qu’aux entreprises d’assurance et leurs filiales. Toutefois, certaines entités, telles que les banques disposant d’une forte liquidité, les maisons de titre, les gestionnaires d’actifs, les petites compagnies d’assurance ou certains réassureurs ne relèvent pas directement de son champ d’application. Néanmoins, elles restent exposées aux mêmes risques et la FINMA les invite à s’y référer et à en suivre les principes.
Conformément au principe de proportionnalité, l’encadrement des établissements varie en fonction de leur nature. De manière générale, ceux principalement concernés par le texte doivent identifier, évaluer et gérer les risques financiers liés à la nature, notamment grâce à des analyses de scénarios. Les risques jugés significatifs doivent être intégrés dans leur système de contrôle interne, qui devra être ajusté en conséquence.
Les banques et les assureurs doivent intégrer les risques financiers liés à la nature dans des domaines similaires, tels que la gestion des risques de crédit, de marché et de liquidité. Toutefois, la circulaire distingue les deux secteurs afin de mieux prendre en compte leurs spécificités.
Cette circulaire vise à renforcer la résilience du secteur financier face aux risques liés à la nature, en favorisant une approche proactive et adaptée aux réalités de chaque institution. Sa mise en œuvre sera progressive : une première vague de mise en conformité est attendue dès le 1er janvier 2026, avant une application généralisée d’ici au 1er janvier 2028.
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